La Voix De Rokugan

Personnellement pour différencier un peu plus les tatouages Ize-Zumi des autres je les fais évoluer et changer d'aspect selon l'humeur du joueur. Cela peut être aussi utile pour faire passer des messages.

Anecdote : Un matin l'Ize Zumi du groupe se réveille sans tatouage, avec un étrange symbole sur le ventre une sorte de caligraphie tatouée... Il ne peut plus utiliser ses tatouages ! Stupeur.
Les autres personnages tente de lire le message, impossible comme écrit dans une autre langue pourtant ils sont sur que c'est une caligraphie rokuganaise. Une fois que l'Ize Zumi a eu lu le message (une énigme) ses tatouages sont revenus.
Bref c'était une façon détourné de donner une énigme aux joueurs. Et cela a renforcer l'aura 'bisare' du moine tatoué.

Tous les Daidoji ont les avant-bras tatoués lors de leur gempukku (enfin, j'ai toujours supposé que pour les Harriers recrutés durant l'adolescence il s'agissait de "décalcomanies" spéciaux qu'ils savent faire disparaitre avant de partir en mission pour éviter d'incriminer leur clan. Et qu'on pouvait se débarrasser des tatouages des Daidoji recrutés après leur gempukku...).

les Matsu, ce ne sont pas des tatouages mais une marque au fer rouge qu'on leur colle

comme dit Akae, les tatouages sont chez la plupart des samurai de L5a des marques d'allégeance. Les tatouages "artistiques" concernent la faune cosmopolite des quartiers réservés. Sans parler de yakuza à proprement parler, on peut par exemple citer les filles qui agissent comme croupières et qui ont souvent une épaule tatouée (au fur et à mesure que la partie progresse, la fille révèle un peu plus du tatouage... et de l'épaule... ce qui a un effet assez distrayant sur les joueurs...), de même que certaines courtisanes et geisha.

au sein de la caste samurai (ainsi que parmi les moines), les Ise-zumi sont apparemment les seuls à quelques rares exceptions près à arborer des tatouages qui ne sont pas un signe d'appartenance et de fait, d'où leur nom, a contrario c'est ce type de tatouages justement qui symbolise leur statut.

Par ailleurs, j'ai lu je sais plus où pour en revenir au japon que durant l'ère meiji et jusque dans les années 50, certaines jeunes femmes se laissaient abondamment tatouer pour plaire à un amant et que ça n'était pas dépourvu de conséquences pour elles par la suite, vu qu'elles se trainaient une réputation de dévergondées toute leur vie.