Modérateurs : Magistrats de Jade, Historiens de la Shinri
Bah moi je sais pas comment ça se finit alors merci d'éviter les spoilers.Ding On a écrit :Note bien que j'ai dit "la plupart", pas "tous".
"on sé koman sa fini LOL".
Pauvre Kodje! Ce qu'il faut pas faire pour pouvoir aller voir Prometheus tranquillementYogo ayame a écrit :Bah Koji dans qques mois tu as aussi le dernier Twilight à aller voir ....
Perso, si je ne l'aime pas, c'est juste à cause de sa filmo. Il a beau avoir tourné avec des réals dont j'apprécie certains films. Ceux dans lesquels il apparait sont, imho, parmi leurs plus mauvais.Ding On a écrit :Note bien que j'ai dit "la plupart", pas "tous".
Il y a des gens qui l'ont vu, n'ont pas aimé et savent dire pourquoi.
Mais vraiment bcp de gens que je connais - et même des amis - refusent obstinément de le voir parce que c'est nul (comment le savent-il ? ben y a Di Caprio dedans et forcément un acteur qui a tourné avec Spielberg, Nolan, Cameron, Scott et Scorcese ne peut qu'être mauvais - à cause de sa belle gueule). Juste des préjugés et tjs les mêmes vannes à la con "on sé koman sa fini LOL". Et aussi cet espèce d'élitisme qui veut qu'un film avec autant de succès ne puisse être que de la merde - sinon la plèbe n'apprécierait pas et moi, tu voâs, je suis au-dessus du lot et je ne me mêle pas à la masse.
et malgré tout ce n'est pas ça qui définit un bon ou mauvais film, sinon on ne prendrait même pas la peine de revoir certains films puisque tout effet de surprise en est effacé. C'est ça la magie de la réalisation.Soshi Noami a écrit :Quant à Titanic, ce n'est pas juste la fin que l'on connaît mais toute l'histoire qui est prévisible et téléguidée (à part la scène de l'hélice peut-être )
Donc on casse un film parce que c'est "prévisible" parce qu'il a un cote consensuel etc, par contre on est pas foutu de faire la différence entre un battage médiatique et le film en lui même? (perso j’étais dans ce cas de figure a la sortie du film en 98 )En fait, le plus pénible avec tout ça, c'est la machine médiatique qui l'accompagne. On te vends le film ou la prestation du DiCaprio comme un sommet du cinéma pour finalement pas grand. Donc t'en sors déçu et tu te dis que la prochaine tu t'en passeras.
En l'occurence, pour continuer à parler magie, là, ça me fait l'impression de me montrer le show depuis les coulisses, d'où l'on voit tous les trucs utilisés par le magicien. Alors que dans d'autres films, même si on connait la trame par coeur, on se laisse prendre à chaque fois par la narration et l'émotion.Kzo a écrit :et malgré tout ce n'est pas ça qui définit un bon ou mauvais film, sinon on ne prendrait même pas la peine de revoir certains films puisque tout effet de surprise en est effacé. C'est ça la magie de la réalisation.
C'est pas que je veuille le casser particulièrement car, techniquement parlant, ce n'est pas un mauvais film (ni un bon film en ce qui me concerne), c'est juste un film plat, tiède, sans saveur. Il cherche à plaire à trop de monde pour finalement vraiment toucher qui que ce soit. Un mauvais film aura au moins l'avantage de me faire réagir alors que Titanic ou les films de DiCaprio, c'est typiquement le genre de film que l'on voit lorsque l'on part en groupe au ciné et qu'après avoir discuté pendant 45 minutes pour savoir ce que l'on va voir, on se rabat sur celui-là car personne n'y est vraiment opposé sans être pour autant enthousiasmé. Mais au final, tout le monde s'y est fait un peu chier et regrette de ne pas avoir vu un autre film, malgré une ou deux scènes appréciées.Donc on casse un film parce que c'est "prévisible" parce qu'il a un cote consensuel etc, par contre on est pas foutu de faire la différence entre un battage médiatique et le film en lui même? (perso j’étais dans ce cas de figure a la sortie du film en 98 )
Au final ça ressemble a ce que dénonce Ding On justement : une forme d’élitisme alors qu'en fait on s'est fait manipulé comme le reste.
Et si il a pas vraiment toucher qui que ce soit, comment expliquer son succès? Car comme Avatar, son succès est du aux gens qui sont retourné le voir au cinéma. Difficile de comprendre cet engouement si ça n'a pas touché les gens plus que ça...Soshi Noami a écrit :C'est pas que je veuille le casser particulièrement car, techniquement parlant, ce n'est pas un mauvais film (ni un bon film en ce qui me concerne), c'est juste un film plat, tiède, sans saveur. Il cherche à plaire à trop de monde pour finalement vraiment toucher qui que ce soit.
Je ne comprends pas cette expression. Di Caprio est un acteur, pas une réalisateur. Et il a tourné dans des dizaines de films de tous les genres différents, avec plein de metteurs en scène différents. J'ai du mal à voir comment on peut généraliser une impression sur l'ensemble de sa filmographie...les films de DiCaprio
On entre aussi dans le domaine du pourquoi certains deviennent si populaires (cf McDo, les émissions de reality shows, mouvement de mode, Beaujolais nouveau, etc.).Kzo a écrit : Et si il a pas vraiment toucher qui que ce soit, comment expliquer son succès? Car comme Avatar, son succès est du aux gens qui sont retourné le voir au cinéma. Difficile de comprendre cet engouement si ça n'a pas touché les gens plus que ça...
Après on rentre dans le domaine de l'impression personnelle et la tout ce que je peux faire c'est comprendre ton sentiment .
DiCaprio est quand même un acteur qui a les moyens de choisir les films dans lesquels ils tournent, ce qui, imho, permet de dire qu'il y a une "cohérence" ou fil conducteur dans sa filmo. Sa présence "cautionne" le film.Ding On a écrit : Je ne comprends pas cette expression. Di Caprio est un acteur, pas une réalisateur. Et il a tourné dans des dizaines de films de tous les genres différents, avec plein de metteurs en scène différents. J'ai du mal à voir comment on peut généraliser une impression sur l'ensemble de sa filmographie...
Le marketing.Kzo a écrit :Et si il a pas vraiment toucher qui que ce soit, comment expliquer son succès?
Sérieux ? Attends, Di Caprio a tourné avec des réalisateurs qui étaient déjà des légendes avant même sa naissance. Des Spielberg, Scorcese, Eastwood, Scott ou Cameron ne font pas leurs films en fonction des acteurs qui jouent dedans - c'est l'inverse, les stars se battent pour être dans leurs castings (même un Tom Cruise capricieux s'écrase devant Spielberg). De plus, Di Caprio n'était pas une star à ses débuts, juste un jeune acteur ayant fait ses armes dans des sitcoms - il faut donc croire que c'est son sérieux, son talent, sa motivation qui ont poussé des gros bonnets à lui faire confiance (rappelons aussi que l'un de ses tous premiers rôles au cinéma était celui d'un déficient mental - pas réellement le rôle glamour par excellence).DiCaprio est quand même un acteur qui a les moyens de choisir les films dans lesquels ils tournent, ce qui, imho, permet de dire qu'il y a une "cohérence" ou fil conducteur dans sa filmo. Sa présence "cautionne" le film.
C'est une réécriture de l'histoire ça.Le marketing.
On peut vendre n'importe quelle merde si elle est suffisament bien emballée et que l'on matraque assez longtemps et répétivement les potentiels clients à coups de pub (TV, spots radio, flyers, bandeaux web, messages subliminaux...).
Le hype, ça se fabrique.
Sauf que je parlais de la charge émotionnelle seulement, vu que tu disais qu il était fade et qu'il ne touchait personne. Je disais juste que les chiffres contredisent ce que tu avançais.Soshi Noami a écrit :On entre aussi dans le domaine du pourquoi certains deviennent si populaires (cf McDo, les émissions de reality shows, mouvement de mode, Beaujolais nouveau, etc.).
Oui le fameux argument du Marketing qu'on a entendu avec Avatar.Marumoto a écrit :Le marketing.Kzo a écrit :Et si il a pas vraiment toucher qui que ce soit, comment expliquer son succès?
On peut vendre n'importe quelle merde si elle est suffisament bien emballée et que l'on matraque assez longtemps et répétivement les potentiels clients à coups de pub (TV, spots radio, flyers, bandeaux web, messages subliminaux...).
Le hype, ça se fabrique.