Comme un crabe dans le poulailler.

Master's : Isawa Yoshimitsu & Hida Koan
La storyline Nimportekoiteske : l'inspiration jaillira du Flood

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Comme un crabe dans le poulailler.

Message par Hida Saburo » 10 oct. 2007, 12:03

Je m'appelle Hida Saburo, et l'histoire que je vais vous raconter ne risque pas de figurer dans les annales de l'empire, mais elle peut peut être vous interesser, si vous aussi, vous vous êtes toujours méfier des intrigues de cour....
Elle commence sur la route qui mène à la ville, après un voyage d'un ennui mortel et d'une longueur à rendre aux Kami leur prime jeunesse...

Je progressais sur le chemin en fouettant les branches de mon Nodachi pour me passer les nerfs...Quelle plaie cette mission ! J'avais toujours eu horreur de la ville : c'était loin, rempli de monde et de faux semblant, de sourire de glace et de filles froides...
Mais si j'y avais été envoyé, c'est bien parce que le senseï voulait me punir....Pourtant ce soir là, j'avais à peine bu une demi barrique de saké et ce n'était certainement pas mon record...Si cette fille n'avait pas été se plaindre, il n'en aurait rien su....

De rage, je tranchais une branche de saule, qui glissa sur le sol, emportée par le vent....Tout ça pour porter un fichu paquet à une donzelle que je ne connaissais même pas.
Le voyage avait été long, on m'avait volé mon cheval et la nourriture de la dernière auberge avait été infecte : que les démons emportent cet âne chauve avec sa bouillie de miso ! Personne ne mange de viande dans ce pays de tondu ? La muraille me manquait et je ne l'avais jamais quitté d'aussi loin, tout me semblait trop calme et trop différent ici...

Les portes de la ville se dessinèrent bientôt devant mes yeux et l'un des gardes me salua poliment..

- Bonjour Samurai san, où allez vous ?

Je rugis à l'attention de l'importun

- Je vais manger autre chose que de la merde ! C'est possible ?

L'homme ne posa pas plus de question lors je lui expliquais presque tranquillement la livraison du paquet, mais il ne repondit toujours pas...La peste soit de ces couillons des territoires interieurs.


La ville grouillait de monde et je me sentais mal à l'aise, un point positif pourtant, les filles avaient l'air mignonnes et on pouvait sentir des fumets appétissants. Je me lançais dans l'exploration du quartier de la porte Nord.
Dernière modification par Hida Saburo le 11 oct. 2007, 09:18, modifié 2 fois.
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Message par Hida Saburo » 10 oct. 2007, 15:44

La bruyante cité regorgeait d'auberge de meilleures qualité que celle que j'avais rencontré sur le chemin, c'est la raison pour laquelle, je l'avoue aujourd'hui sans honte, je me fis un plaisir de m'y reposer...

Du plat de la main je frappais bruyament sur la table et les bols et baguettes qui y étaient entreposés s'entrechoquèrent....
Ha, peste ! La donzelle attendrait que mon estomac soit plein avant de recevoir son dû...

- Aubergiste ! Apporte moi de quoi boire et manger ! Ha ! Que sais tu faire de bon ?

L'homme modeste s'inclina respectueusement

- La spécialité de la maison samourai san est la bouillie de miso

A ces mots, ma tête faillit éclater.......Je saisis l'homme par le revers du kimono et le secouais

- Idiot ! Vais je manger ta bouillie pour cochon le restant de mes jours ?

Je relachais l'homme, conscient de ma propre brutalité...Il n'y était pour rien, après tout...

- Sa...Samourai sama, je suis désolé...Je peux vous chercher autre chose...

Confus, je refusais pourtant d'admettre ma sottise, comme souvent et me massais la nuque avec le plat de la main....

- Baa...Apporte ton horreur et gare à tes fesses si elle est trop salée..

J'avais vraiment les villes en horreur...
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Message par Hida Saburo » 11 oct. 2007, 09:48

La troisième bouteille de saké fut suffisante à mon bien être et je me levais en titubant...
Ha ! Il fallait terminer cette foutue mission avant de rentrer...Que pouvait il y avoir de si important dans cette boîte à donner à une donzelle...
Peut être ce vieux cochon avait il une ...
Je secouai la tête, l'alcool me faisait penser n'importe quoi... Je payais grassement l'aubergiste avant de filer...

Heurtant quelques meubles au passage, je respirais l'air empesé de la ville et tâchais de poser les questions aussi fluidement que possible...

- Ku...Kuni Amaya ? Connaissez pas ?

Les stupides paysans haussaient les épaules en signe d'ignorance...Idiots !
Une fillette pourtant me tira par la manche, quelques heures plus tard, lorsque le soir commençait à tomber...

- Quoi ? fis je en rugissant , Pas de temps à perdre avec la marmaille !

Penaude, elle agita la tête...

- Kumi Ayama et son élève sont à l'auberge Akiko, samourai sama...

Je tapotais la tête de la gamine et lui achetais quelques sucreries avant de partir pour l'auberge indiquée...Foutu Kuni, toujours à battre le pavé, jamais tranquilles, à croire que la chasse aux sorcières leur grillait le cul !

Lorsque je fis coulisser la porte, la femme me tournait le dos en affutant son Naginata avec une lenteur et une précision redoutable.
Chaque raclement semblait rythmer la vie aux alentours.
En élégant et sobre kimono de soie noire, la femme semblait jeune mais l'austérité de ses traits et sa stature rigide lui donnait dix ans de plus...
Toujours sans se tourner, elle prononça d'une voix glaciale :

- C'est toi qui me cherche ainsi, bushi ?

Enervé par cet accueil, je lui tendis la petite boîte avant de la poser sur la table basse qui nous séparait...

- Voilà, de la part du Sensei...

Des le claquement du bois sur la table, la pierre à aiguiser s'arreta net dans l'air...La femme se retourna, quittant son port hautain et ouvrit la boite...Un petit mot et un sachet l'accompagnait.
Elle eut l'air de le lire avec inquiétude et ses mains délièrent rapidement la petite bourse dont elle renversa le contenu sur la table : quatre petits os brulés en tombèrent, laissant un peu de poudre noire sur la table...
Elle le fixa attentivement, à mesure que son expression devint de plus en plus inquiete...Elle leva vers moi un regard anxieux...

- Combien de temps à tu mis à me livrer ceci, samourai ? Tu as trainé en route ?

Je me frottais la tête, et lui répondit d'un ton bourru en haussant les épaules...

- Muarf... J'ai été me relaxer un peu entre temps...Quoi cette fichue boite avec trois os de poulet grillés valait elle la peine que je me presse ?

Les traits de la femme se durcirent et sa voix s'éleva :

- Idiot ! Cretin de bushi ! Sais tu au moins ce que cela veut dire ?
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Message par Hida Saburo » 12 oct. 2007, 12:55

Non, à vrai dire, à ce moment précis je n'en savais rien....Pour être franc, je le dis maintenant, mais je n'en avais strictement rien à faire : je pensais surtout que bientôt que quitterais la ville pour rejoindre la muraille.
Je secouais donc la tête, un peu surpris et pour ainsi dire vexé par la réaction de la Kuni, rouge de colère...

La porte qui donnait sur la cour et une adolescente pénétra dans la pièce avec un baquet d'eau chaude, elle ne semblait pas avoir remarqué ma présence. A l'inverse de son maître, elle portait un kimono fleuri de couleurs vives et son visage portait encore les rondeurs joyeuses de la jeunesse

- Quelque chose ne va pas, Sensei ? murmura t'elle inquiète.

- Entre, Misayo...

La jeune fille sursauta et faillit lâcher son baquet en m'apercevant.

- Qui..Qui est ce ?

- Un imbécile...Ferme la porte derrière toi...

Je lançais un sifflement de mépris et croisais les bras devant moi, sans regarder cette femme suffisante...

- J'ai fait ce que j'avais à faire...Je rentre à la Muraille...

Le ton d'Amaya fut aussi tranchant que ne l'était sans doute la lame de son Naginata...

- Certainement pas...Vous allez m'aider, bien que je doute que vous en soyez capable. Ces fragments d'os appartiennent à des guerriers qui ont participés à la grande bataille, qui révéla Hida Koan...et ils sont entièrement corrompu par la Souillure...

J'avais déjà vu les effets de la Souillure sur plusieurs guerriers, mais la plupart du temps, ils préféraient se donner eux même la mort pour endiguer sa progression...Nous, les représentants du Crabe y étions plus résistants que les autres, mais non point invincibles..Je baissais la tête à l'énoncé de cette nouvelle

- C'est fréquent sur la Muraille, en particulier après ce qui s'est passé qu'est ce que cela prouve ?

- Ces guerriers ne se sont pas donnés la mort, ils ont été surpris à agir contre ceux qui luttaient sur la muraille...Et certains se sont enfuis...Votre maître pense qu'il s'agit de maho et je suis de son avis...
Rien n'est terminé ici, fit elle en refermant la boîte avec précaution.

La jeune fille posa le baquet en tremblant et vint au coté de sa maîtresse.

- Qu'est ce que vous voulez dire ?

La femme lui répondit d'un ton sévère

- Cela veut dire que lors de ces temps troublés où tout doit être reconstruits, certains complotent vraisemblablement contre ce qui est fragile et qu'il est de notre devoir de les débusquer....
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Message par Hida Saburo » 26 oct. 2007, 14:27

Ce qui me passait par la tête à ce moment précis, je ne puis aujourd'hui encore, le définir clairement.
Mais même si à l'époque, j'avais encore ce caractère brutal qui me caractérisait, je gardais toujours en moi l'importance du travail que notre clan devait accomplir...Même l'esprit le plus rustre peut parfois comprendre qu'une situation est grave

- Je...Je vous aiderais à mener l'enquête, maître Ayami..

L'inquisitrice eu un sifflement de mépris...

- Je doute que tu saches de quoi tu parles, tête de bois de Bushi. Mais en ces temps troublés, nulle aide ne peut être repoussée...
La cour apprécierait assez peu cette nouvelle, tâche d'être plus discret qu'intelligent, sinon.... Il se pourrait que le salut des apparences passent avant ta propre vie.

Empoignant avec une colère contenue mon Nodachi, je quittais la pièce en refermant la porte derrière moi...
"Chh...Singe poilu" pensais je en deambulant dans les rues, butant au passage les petites pierres qui jonchaient le sol...
Par où commencer une fichue enquête ? Trouvait on les Maho en secouant les arbres ? Qu'avais je dit en promettant mon aide ? Me voilà embarqué dans une histoire qui me depassait plus que largement....
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Message par Hida Saburo » 26 oct. 2007, 23:25

Le tournoi battait son plein et l'ambiance festive n'arrivait pas à cacher les inquiétudes de tous.
Les tentes des dignitaires se dressaient autours du lieu du festival , leur étendard claquant au vent puissant qui secouait la pleine...

Une pomme à moitié mangée dans la main, je progressai à pas lourd au sein de la foule.
Les tournois ne m'avaient jamais amusé : des pitreries de vantards...
Ho oui, les kakitas brillaient lorsqu'il s'agissait d'agiter leurs sabre contre un seul adversaires, mais sur la muraille, cela n'avait aucune utilité contre une horde...Les notions de grâce et d'élegance devenaient alors aussi superflu qu'une longue vue à un aveugle...
Si un maho étranger voulait passer inaperçu au sein de la ville, il était forcement arrivé avec les délégations de participants...
Peste, comment on reconnaissait on un ? Fichtre, cette sorcière de Kuni ne lui avait rien indiqué et ce n'était certainement pas marqué sur son visage...
Il faudrait ruser, et il fallait bien l'avouer, la ruse, ça n'avait jamais était mon fort....
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Message par Kakita Sojiro » 27 oct. 2007, 12:15

C'est bien connu, les Crabes sont prompts à réagir. Même (surtout) aux menaces invisibles aux autres.
Même si les inquiétudes étaient vraiment très limitées ; le Fils des Cieux était présent ici, que craindre dès lors ? Surtout que tous les clans étaient présents ?
On s'écartait respectueusement du passage du Crabe, sans faire spécialement attention à lui... Même cette personne, un peu éloignée dans une ruelle, les mains et poignets couverts de scarifications... étranges. Ayant vu le regard que lui jetait le Crabe, il se recula dans la ruelle sombre...
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Message par Hida Saburo » 28 oct. 2007, 13:28

Fichu tournoi et fichue ville de tordu....
Reperer une de ces erreurs de la nature qu'étaient ces crevures de Maho dans cette masse grouillante de citadins relevait de...
Mon regard s'était figé sur un clampin aux bras couverts de marques, qui fila dans le passage désert et noir de la petite ruelle dès que son regard eût croisé le mien...
" Seuls fuient les coupables devant le juge" avait pour habitude de dire mon vieux senseï et à défaut d'intelligence, j'avais de la réactivité à revendre...

Ecartant un peu brusquement un marchand de saké, qui arrivait dans l'espoir de vendre une bouteille, je plongeais à la poursuite du mystérieux fuyard...
Mais le taureau furieux ne s'improvise pas rat silencieux en quelques instant, et je perdis rapidement du terrain, pestant contre mon manque habituel de discrétion....
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Message par Kakita Sojiro » 28 oct. 2007, 13:33

Remarqué pour remarqué, l'homme tentait de s'enfuir le plus vite possible. Toutefois, s'il connaissait un peu la ville, il ne faisait pas le poids face à un samuraï du Crabe.
C'est pourquoi, après un bref temps où il prit de l'avance, le malingre scarifié perdait régulièrement du terrain, essoufflé...
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Message par Hida Saburo » 28 oct. 2007, 15:53

La peste emporte ce cancrelat zébré !
Il courrait comme s'il avait la mort aux fesses, je prévoyais rageusement une manière de lui faire passer le goût de la course quand je vis que l'homme perdait du terrain...
Quelques mendiants s'aplatirent contre le mur, terrifié par cette course poursuite et peut être un peu, par le rugissement rageux que je poussais au moment d'envoyer mon épaule contre son dos pour faire chuter le fuyard....

Quelques secousses plus tard , et peut être quelques coups, ma mémoire me fait défaut à ce sujet, je relevais le misérable à la hauteur de mes épaules et le plaquais contre le mur

- Foutu cul terreux ! Qu'est ce que tu as à courir comme ça, j'ai mauvaise haleine ?

Ici, si je me rappelle bien, j'ai peut être bien du lui mettre une gifle.

- Tu as sans doute quelques chose à te reprocher non ?

Je déchirais sans vergogne ses manches miteuses pour exhiber ses cicatrices ?

- Tu t'es fait ça avec une baguette aiguisée je suppose...

Le seul problème restait que j'avais autant d'experience dans l'investigation et la chasse aux Maho qu'une fillette de quatre ans au maniement du sabre...
J'esperais obtenir par la force et la terreur, ce que d'aucun gagnent à la brillance de leur esprit...
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Message par Kakita Sojiro » 28 oct. 2007, 16:29

L'homme était un vieillard, d'environ cinquante ans. L'autre chose étrange, c'est que selon les Inquisiteurs Kuni, les maho-tsukai sont prompts à saisir un poignard sacrificiel pour lancer des sorts en échange de sang, or ici, aucune arme visible, juste une petite bourse d'où tintaient, sans nul doute, que peu de zenis.
Le visage du vieillard était maculé de crasse et de sang. La mâchoire brisée, il s'avéra incapable de répondre avant de s'étouffer dans son sang. Dans sa chute, il s'était un peu trop mordu la langue.

Alors que Saburo se demandaient encore où il avait merdé, une voix jeune mais ferme retentit, assez calmement :

"Que se passe-t-il ici ?"
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Message par Hida Saburo » 28 oct. 2007, 16:40

Il est de ces personnes qui brisent tout ce qu'elles touchent, et j'ai toujours su que j'en faisais partie...

Le vieil homme, effrayé, battu , gesticulait au sol, sans pouvoir dire mot...
Je reposais mes fesses de brute sur le sol en secouant la tête : rien d'intelligent ne sortirait de ce crâne épais....L'inquisitrice avait raison, la jeunesse n'excuse pas tout...

Je m'agenouillais près de lui en tentant de le faire respirer...

- Vieil homme , vieil homme.... Je...

La voix parvint jusqu'à mon esprit embué par la honte et la gêne d'avoir encore commis un impair...
Sans me retourner je répondis avec brusquerie...

- Je...Rien...J'ai un peu rudoyé ce vieux et ... Ha merde ! finis je par rugir, enervé par ma propre stupidité, voilà il est tombé...
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Message par Kakita Sojiro » 28 oct. 2007, 16:46

Il répondit d'un très diplomate :
"So ka. C'est regrettable que vous ayez tué l'un de nos chasseurs, mais il était vieux. Et je pense comprendre l'impair que vous ayez commis, dicté par la nécessité. Désirez-vous que je vous aide à vous relever, Hida-san ?"
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Message par Hida Saburo » 28 oct. 2007, 17:30

- M'aider à me ...

Je me souvint avoir lutté très fort pour ne pas sortir une bordée d'injure que d'aucun aurait considérée comme indigne de mon "rang"...
Mais non seulement le samouraï semblait sincère, mais je venais en plus de mettre un mort l'un de ses hommes.

Serrant les dents, je secouais la tête en signe de négation...

- Ca..Ca ira.. J'ai bien l'impression d'avoir encore manqué une occasion d'être perspicace...Je pensais cet homme...Coupable d'autre chose.
Il s'avère que je me suis trompé.
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Message par Kakita Sojiro » 29 oct. 2007, 11:44

L'albinos hocha sobrement la tête.

"Nous nous trompons tous un jour ou l'autre. Je suis Kakita Sojiro ; quel est votre nom, chasseur Hida ?"

Le mot "chasseur" était dit de facon très respectueuse ; pas une négation de son statut de bushi, mais bien l'évocation de son occupation habituelle...
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