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Loin de la chaleur...

Publié : 02 août 2005, 23:14
par Seppun Kurohito
[Yogo Yokaze ]

Dans la cour du Kyuden, nombre de visiteurs arrivaient encore.
Passant le poste de garde, un homme, le visage émacié, les yeux sombres, promenait son regard sur la flore locale, un fin sourire étira ses lèvres, il semblait apparament satisfait.
Les heimins s'écartèrent de son chemin et son long manteau rouge sombre trainant dans la neige donnait l'impression qu'une traînée de sang viscié s'y déplaçait.

Plusieurs samourai s'arrêtèrent de parler, examinant ce curieux visiteur, il pouvait sentir leur regard et il aimait cela. Rien que de part son apparence il aimait jouer avec le batement du coeur des étrangers qui le scrutaient. Bien souvent ceux qui l'approchaient était surpris par le regard noir et profond qu'il pouvait intimer. Il souriait chaque fois intérieurement comme un serpent qui paralyse sa proie et s'apprête à la mordre pour y puiser la vie et y dissoudre son poison.

Oui il aimait cela, jouer avec le coeur et l'âme, il ressentait de la satisfaction et du plaisir à le faire. Et ce talent particulier, véhiculé par l'étrange image de la famille Yogo avait toujours été mis en valeur par son clan, celui du Scorpion .

Posté le 30-10-2002 à 13:30:52 - Iuchi Mushu

Publié : 02 août 2005, 23:15
par Seppun Kurohito
[Arashi Fuyimiki]

Krilin méditait tranquillement dans un petit jardin quand tout a coup le silence se propagea tout le long du couloir qui lui faisait face,il leva les yeux et vit une personne en rouge traverser le couloir,seul le bruit de ses propres pas était audibles,tout les samourai faisant silence a son approche, Krilin ne pu s'empêcher de penser intérieurement:
"Quand le danger est passer les Oies repartent de plus belle..."
Et effectivement des que la personne avait disparu dans le coin du couloir,les discussion reprirent de plus belle comme une trainée de poudre,au moins les courtisans ne parler plus de cette étrange moine méditant sous la neige,cette personne était sympathique a Krilin,il pouvait maintenant méditer en paix,jusqu'a ce qu'on vienne le chercher.

Posté le 30-10-2002 à 15:15:26 - Hida Benkei

Publié : 02 août 2005, 23:16
par Seppun Kurohito
[Matsu Yomitsu Soho]

Trois cavaliers pénétrèrent dans l'enceinte du palais, arborant dans leur dos le mon du clan du Lion et sur leur poitrine celui de la famille Matsu. Ils mirent pied à terre et le plus grand enleva son heaume découvrant un visage anguleux et des yeux bruns et vifs.
Des palfreniers se présentèrent pour prendre les montures, il n'eut aucun regard pour eux, ils étaient poussière.
Il leva les yeux sur l'imposant palais de la famille Doji et le coin de sa lèvre se souleva dédaigneuse.
"Ainsi donc voici l'antre la plus fastueuse du clan de la Grue" dans son regard, il y avait de l'insolence.
Ses deux compagnons beaucoup plus jeune que lui étaient droits à ses côtés, l'air martial, ils ne disaient mot.
Lorsqu'il entama sa marche, ils se placèrent à sa droite et à sa gauche. Les épaules carrées, la démarche franche, Matsu Yomitsu Soho lissa sa moustache, les yeux plissés il entra dans le Kyuden se demandant à quelles simagrées il allait encore être obligé de se plier durant un hiver pour finalement faire la seule chose pour laquelle il était doué : mener ses forces à l'assaut de ses ennemis. Principalement les troupes de Daidoji Uji.

Posté le 31-10-2002 à 15:06:45 - Iuchi Mushu

Publié : 02 août 2005, 23:17
par Seppun Kurohito
[Les Masques de Nôh]

Sur fond de neige, 7 cavaliers noirs avancent, tâche de couleur dans le paysage immaculé. Les deux premiers, fines silhouettes chevauchent côte à côte, les cinq autres sont regroupés autour de mûles chargées.

L'étrange cortège serpente à travers les terres du clan de la Grue. Vers la fin de l'après-midi, ils arriveront à Kyuden Doji.
Un oiseau s'envole subitement des arbres, l'un des deux chevaux de tête se cabre surpris, la main ganté du cavalier de tête attrape le licoul du cheval à ses côtés et stabilise la monture. La cavalière qui l'accompagne croise son regard et sourit à son miroir :

- Toujours aussi prévenant Kagero.

Il lui renvoye son sourire:

- Hai, je ne peux m'empêcher de te protéger. Je te rapèlle que demain soir nous donnons un représentation au palais Doji, une chute de cheval n'est pas la bienvenue.

Elle rie doucement :

-Tu exagères ! Il faut toujours que tu exagères, ce n'était qu'un oiseau !

Une fine ligne reste sur les lèvres de Shosuro Kagero, comme un sourire figé sur le dessin blanc de son visage. Les traits noirs et fins, véritable chef-d'oeuvre dessinés à même sa peau, l'assimile presque totalement à sa soeur jumelle. Pourtant il n'est pas elle, il est lui mais parfois on pourrait en douter.

Posté le 04-12-2002 à 21:57:47 - Les Masques de Nôh

Publié : 02 août 2005, 23:18
par Seppun Kurohito
"Vas-y Makeru ! Envoie moi la balle !"

La petite Osate agitait ses petites mains au dessus de sa tête. Elle et son ami Makeru jouaient souvent dans les rues du village, ou devant l'auberge comme c'était le cas en ce moment même. Ses parents en étaient les tenanciers, une mère et un père les plus adorables du monde pensait la petite fille. Elle savait que même si elle aurait dû rentrer par un temps pareil, et qu'elle préférait continuer de jouer avec Makeru, elle ne serait pas grondée.

"Allez ! Envoie moi la balle !"

Makeru riait, faisant un tour sur lui même et tenant haut la balle pour narguer la petite fille. Son tour terminé, et à la vue de la moue boudeuse de son amie, il se résigna à se séparer de la balle en coton qu'il tenait et se prépara à lancer la balle.

Mais il interrompit son geste en plein milieu : à l'entrée du village, dans le dos la petite fille, sept cavaliers arrivaient en trombe.

Les cavaliers s'arrêtèrent à quelques mètres de l'auberge sous le regard des enfants captivés par leur allure.

Les deux cavaliers de tête mirent pied à terre dans une synchronisation parfaite, les 5 autres suivirent.
Soshuro Kagero ôta ses gants et découvrit son visage aux yeux des enfants en faisant basculer sa capuche.

La petite fille ne pouvait détacher son regard du visage du Samouraï, elle n'avait jamais vu une personne aussi belle, aussi élégante.
Lorsque Shosuro Ukiko laissa aussi tomber sa capuche, l'enfant écarquilla les yeux, c'était deux fois la même personne !
Et les autres ? Etaient-ils tous pareils ?

Les deux sosies avancèrent vers l'auberge et s'y engouffrèrent, sans même un regard vers les deux enfants non loin. Pendant ce temps les cinq autres cavaliers menèrent par la bride les chevaux dans l'écurie. Lorsqu'ils ressortirent, Makeru et Osate étaient toujours en train de les fixer, tentant de deviner les visages dissimulés dans l'ombre des capuches.

Pour répondre à la question restée muette de la petite Osate, les hommes se découvrîrent avant de rentrer dans l'auberge. Elle hoqueta de surprise :
Ils avaient des visages de démons ! Plus hideux les uns que les autres !

"Des masques de théatre..."

Elle se tourna vers Makeru. Le visage de ce dernier était radieux. Ses yeux pétillaient et il arborait un sourire emplit de béatitude.

"Je n'en ai vu qu'une seule fois, un théâtre nôh..."

Osate se retourna vers l'auberge, les cavaliers y étaient tous rentrés à présent.

Posté le 05-12-2002 à 17:06:00 - Les Masques de Nôh

Publié : 02 août 2005, 23:19
par Seppun Kurohito
[Shosuro Ukiko & Shosuro Kagero]

La curieuse troupe était attablée dans l'auberge, attendant d'être servie.

Même au plus fort de sa cohésion, Kagero et Ukiko prenaient toujours leur repas séparés du reste de la troupe, sorte d'isolement qui en des temps difficiles avait cimenté leur complicité et leur compréhension de l'autre. Comme une introspection partagée, ils pouvaient mutuellement sentir quand l'autre allait mal, était triste, quand quelque chose venait briser l'harmonie qu'il y avait entre eux.

Parfois pourtant cet échange pouvait tourner à la dispute certains jour où Ukiko supportait moins la sollicitude aimante de Kagero. Parfois c'était lui qui ne le supportait pas . Au gré de leurs humeurs, ils ne pouvaient cependant pas s'empêcher d'aller vers l'autre et d'essayer de l'aider, ils avaient traversé tellement de choses unis de cette manière. Leur gémellité était comme un lien que seule la mort pouvait trancher, encore qu'on eut pu en douter.

Ce jour-là était un de ces jour, Kagero le sentait. Maintenant assise, Ukiko était silencieuse et rêvassait alors que Kagoro le savait, elle aurait plutôt eu tendance à réviser toutes les phases des spectacles à venir. Il voulait l'extraire de cette morosité mais comment s'y prendre ? Tantôt joyeuse, maintenant silencieuse, la pression qui avait été sur eux ces dernières semaines dans la Capitale y était certainement pour quelque chose. Mais comment faire ?

Kagero tenta d'aborder légèrement le sujet, se tournant presque imperceptiblement vers la porte qu'il venait de franchir, et par delà la route qu'ils empruntaient il lança :

- Si nous continuons sur le rythme présent, le somptueux palais de la famille Doji s'offrira à nos yeux avant la fin de la journée. Tu auras là matière à rêvasser pendant des heures ma chère soeur, à moins que tu n'ais déjà un sujet plus intéressant auquel tu consacres tes pensées ?

Se tournant à nouveau vers sa chère Ukiko, il tenta de lire dans le regard de celle-ci le moindre changement. Bien sûr il n'y découvrit rien : sa jumelle comme lui-même étaient passés maître dans l'art du théâtre, et leurs émotions étaient domptées, du moins en de pareilles circonstances.

Et comme toujours en pareilles circonstances, elle prit sa remarque à contre-pied preuve de sa fatigue et de sa tension :

- Tu aimerais bien savoir à quoi je rêvasse n'est-ce pas ? Ce mystère là mon masque te le cache encore !

Quand elle agissait comme cela par défi et l'attaquait de front, il s'avait qu'un homme l'avait encore fait souffrir ou déçue alors curieusement elle s'attaquait à lui, celui auquel elle devait comparer tous les autres. Celui dont elle était le plus proche mais qui ne serait jamais que son frère. Dans
ses yeux dansait une petite flamme de rébellion, rébellion contre ce lien si serré et pourtant si vital.

Devait-il la provoquer pour que l'émotion sorte une bonne fois pour toute ou jouer profil bas ? Il avait une tendance à utiliser généralement la première méthode, plus rapide, elle était comme un orage qui éclate puis s'en va laissant un paysage serein. Mais faire cela lui faisait mal, il était sûr cependant que ce diplomate du clan de la Licorne y était pour quelque chose.

Son sourcil se leva, interrogateur. Kagero chercha à plonger son regard dans celui de sa soeur, sondant sa peine, sondant sa douleur. Et recherchant le coupable...

Posté le 12-12-2002 à 13:38:51 - Les Masques de Nôh

Publié : 02 août 2005, 23:20
par Seppun Kurohito
Ukiko allait surenchérir quand en relevant la tête, elle croisa son regard, alors elle se ravisa.

[Shosuro Ukiko & Shosuro Kagero]

Ses yeux-là, elle les avaient déjà vus bien souvent. Notamment lorsqu'une fois, suspendue dans le vide après avoir glissé et quand ses doigts avaient lâché, il l'avait rattrapée de justesse déchirant les muscles de son bras sous le choc. Elle se souvenait avoir été au bord de l'épuisement lorsqu'il l'avait remonté à bout de bras, faisant fi de la douleur. Et ce soir-là, quand elle avait soigné son bras, il l'avait regardé avec le même regard. Elle savait très bien ce qu'il signifiait : "Je tiens tellement à toi".

En l'occurrence, et avec ce qui s'était passé à Otosan Uchi, elle sut qu'il s'inquiétait pour elle et qu'il ne voulait pas qu'elle souffre, rien d'autre. Son agressivité retomba comme le vent au dehors et l'orage passa.

Au bout d'un moment ils perçurent tout deux les pas de l'aubergiste apportant le repas ...

Posté par les Masques de Nôh

Publié : 02 août 2005, 23:21
par Seppun Kurohito
La fin de l'après-midi approche et alors que la pénombre commence à étendre son voile sur les terres du clan de la Grue, le vent tombe.
La neige a cessé de tomber assez vite ce matin et son manteau immaculé est parsemé d'empreintes ça et là, oiseaux et autres animaux y ont laissé leur traces.

La silhouette de Kyuden Doji, imposante, jette ses ombres au sol. Bientôt sous l'éclat de Seigneur Lune, le palais paraîtra encore plus mystérieux...

Posté le: Mer Avr 23, 2003 6:09 - Iuchi Mushu

Publié : 03 août 2005, 05:34
par Iuchi Mushu
La pénombre était déjà tombée alors qu’ils chevauchaient en silence, approchant du palais. Sur le surplomb de la colline, il était là, ce fameux palais, la lune jouant avec ses ombres, imposant et majestueux dans son écrin de neige. Ukiko et Kagero restèrent un instant à admirer ses contours fiers, perdus dans leurs pensées. Soudain uane flèche enflammée éclaira le ciel et éclata enchaînant une explosion de couleurs : un feu d’artifice ! Jumeaux dans la pensée, leur regard se croisèrent et ils se sourirent. C’était là l’occasion de faire une entrée théâtrale et remarquée !
Kagero tourna la bride de son cheval et alla vers un de ses hommes.

- Haoran, descends jusqu’au palais avec les laissez-passer. Vois avec Doji Shizue sama si elle nous autorise à faire une entrée remarquée sur le thème du premier couplet de notre représentation.
- Hai Kagero sama
- Si tu ne reviens pas c’est que l’autorisation nous sera donnée, l’ouverture des portes nous le confirmera. Nous attendrons le bouquet final puis entrerons au galop dans la cour du palais. Ensuite, tu sais ce qu’il te reste à conter
- Hai !

L’homme engagea sa monture à la descente de la colline et se dirigea vers palais.

Son étrange silhouette fut remarquée par la garde bien avant qu’il n’atteigne l’imposante porte du kyûden, et à son allure inquiétante, leur main se porta à la garde de leur katana. L’un des soldat fit appeler son supérieur. Quand les sabots du cheval résonnèrent sur les pavés de l’entrée, échos de son trot, Daidoji Reiki attendait aux côtés de ses hommes.
L’homme arrêta son cheval et mis un pied à terre. Il marcha sur les gardes curieux de découvrir qui était leur étrange visiteur. Sa capuche tomba et la surprise crispa leurs traits quand ils découvrirent non pas un visage mais un masque grimaçant. Il s’inclina théâtralement :

- Konban wa samouraï sama, je suis Haoran de la troupe des Masques de Nôh. Shosuro Kagero sama mon maître m’envoie me présenter à vous et vous remets ceci

L’homme tendit au Daidoji les laissez-passer de la troupe, le capitaine scruta le masque puis posa les yeux sur les parchemins à la lueur d’une torche. Qu’y avait-il derrière comme visage ? Cette idée lui traversa l’esprit alors qu’il jetait à nouveau un coup d’œil sur les papiers. Le capitaine releva la tête :

- C’est en ordre, tu peux dire à Shosuro Kagero sama que nous attendons sa troupe avec impatience, Doji Shizue sama m’a effectivement prévenu de votre arrivée.
- A ce propos Daidoji sama, j’ai une requête à formuler au nom de mon maître à Doji Shizue sama.

Daidoji Reiki souleva un sourcil et ne put s’empêcher de dire

- Quelle genre de requête ?

Refuser de répondre aurait été malséant bien que cette demande particulière s’adressa à Shizue sama, Haoran en fit part au capitaine Daidoji :

- Mon maître souhaiterait faire honneur à l’invitation que lui a fait le clan de la Grue et pour surprendre les invités de ce palais, il souhaiterait une entrée assez théâtrale, avec l’accord de dame Doji Shizue sama bien entendu.

Etrange demande en soi, mais Reiki n’avait pas à juger. C’était à l’hôtesse des lieux de le faire.

- Bien suis-moi, je vais te mener auprès de Doji Shizue sama

L’homme s’inclina

- Domô arigatô Daidoji sama

La petite porte donnant sur l’intérieur de la cour s’ouvrit et Haoran suivit le capitaine.
Deux gardes se flanquèrent de chaque côté derrière lui et l’étrange cortège avança dans la cour. Prié d’attendre à quelques mètres de l’estrade de la galerie où se trouvait l’hôtesse et ses invités. Haoran en profita pour examiner les environs et profiter du spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Le capitaine se dirigea vers un courtisan Doji d’une grande élégance lui murmurant discrètement à l'oreille quelques mots qu'aucun ne pouvait saisir.
Plusieurs invités jetèrent des coups d’œil à la dérobée à Haoran. Son étrange aspect ne passait certainement pas inaperçu !

...

Posté le: 17 Mai 2004 11:4 - Les Masqueq de Nôh

Publié : 03 août 2005, 06:13
par Iuchi Mushu
Daidoji Reiki rassembla quelques hommes et torches en main, ils entreprirent de contrôler les jardins. Il était impossible pour lui que quelqu'un soit entré dans les appartement de Shizue sama avec la garde qu'il avait disposé.

Sa certitude s'étayait déjà du fait qu'aucune empreinte n'avait été trouvée aux abords des appartements. La neige était immaculée et Doji Nanko l'avait constaté comme lui-même. Pourtant le courtisan avait ordonné que même au risque d'être remarqué par certains invités, les jardins soient examinés dans les moindres détails. Trop de choses dérapaient depuis ce matin sans qu'ils aient le moindre impact sur elles. Comme si quelq'un s'amusait à éprouver leurs nerfs. L'incident du thé avec Matsu Yemitsu, son altercation avec Ikoma Kasaru, l'incendie des appartements de la famille Matsu et maintenant l'incident de Dame Shizue.

Le vent le traversa quand ils sortirent sous la galerie et malgré son manteau, il frisonna. La neige tombait à nouveau en gros flocons. Il parcourut du regard les remparts, connaissant la position de chaque homme. Pas un ne manquait à son poste. Il se tourna vers les hommes qui l'accompagnaient.

- Allons-y et soyons discrets. Si nous sommes questionnés par des invités, nous effectuons simplement nos rondes de sécurité, aucun doute ne doit s'immiscer dans les esprits sinon nous aurons sous peu des incidents diplomatiques et c'est à écarter dans la situation présente. Est-ce bien compris ?
Conscients de l'heure tardive, ses hommes se contentèrent d'un hochement de tête martial plutôt que du "Hai" traditionnel.
Reiki se plaça en tête et ils commencèrent leur examen minutieux des jardins.

Posté le: 07 Juil 2005 09:57 - Iuchi Mushu