Tetsuo a écrit : Ainsi sans taxer le chiffre d'affaire il est possible de taxer le volume échangé et donc capter une partie des gains des marchants.
C'est déjà la cas dans Rokugan, vu comment est plus ou moins défini l'estimation du koku et des impots.Soshi Noami a écrit : Ou fixer un montant forfaitaire pour chaque parcelle cultivée, chaque moulin, chaque métier à tisser, etc.
La question se posait sur les revenus du commerce, donc non lié à une production mais plutôt aux mouvements des biens.
C'est marrant car sur le wikipédia du mur des fermiers généraux ils indiquent que le but était la taxation des biens entrants.Hida Kekkai a écrit :Oui, c'est comme ça que ça marchait : beaucoup de taxes forfaitaires. L'impôt sur les récoltes était fixe, basé sur la quantité moyenne d'une récolte de la rizière. Ce qui était atroce pour le paysan en cas de mauvaises récoltes mais cela empêchait toute fraude fiscale tout en permettant une gestion à long terme.
Sinon, en Europe, je ne sais pas pour le Japon, on taxait les marchandises sortant des villes ou des grands fiefs. En effet, la taxe était, non pas sur la consommation ou l'importation, mais sur les exportations. Les seigneurs plaçaient la terre comme valeur ultime et considéraient que celui qui vendait des récoltes ou des produits à l'étranger appauvrissait le fief, stupide je sais mais bon...
L'Europe a aussi vu des impôts sur certaines matières, le plus célèbre de ces impôts est l'impopulaire gabelle.
On peut aussi imaginer des droits de douane entre Clan.