Mouais le problème c'est qu'au début de Harry Potter, on a toute une séquence sur le choix de la baguette magique. C'est ce qui fait que la baguette n'est pas un vulgaire objet et devient même un perso en tant que tel, d'ailleurs l'auteur le montre très bien avec celle de Harry. Alors on aurait pu avoir une situation spécifique et exceptionnelle qui permette ce truc là (la baguette de sureau justement) mais non, ça devient un véritable bonneteau à la fin, y en a pas un qui a sa baguette d'origine... Alors pendant 6 volumes t'avais ce lien super étroit entre les sorciers et leur baguette (qui reflétait un peu leur personnalité) et ds le dernier tomes on te montre juste que c'est des outils que tu peux remplacer en démontant le sorcier d'en face, ça casse un peu le mythe, je trouve.
C'est vraiment sympa cette petite balise
Spoiler :
Au contraire, je trouve qu'il y a des liens forts avec les baguettes et je trouve que ça construit plutôt bien. Et oui Kojiro, la baguette de surreau (ça doit être l'Elder Wand en VO) ça a une raison
The only way to keep a secret is to tell the truth, but not the whole truth
Ben Franklin : "They that can give up essential liberty to obtain a little temporary safety deserve neither liberty nor safety."
Mais, sans vouloir troller, je suis le seul à avoir trouvé que le tome 7 est réellement indigne des promesses faites dans les opus précédents ? Presque 500 pages de camping sauvage où aucune intrigue n'avance, des dei ex machinae en pagaille, une bataille bâclée avec des morts hors-champs qui n'ont aucun impact émotionnel, une fin guimauve un peu trop appuyée, etc. Franchement, j'ai été affreusement déçu avec cette impression que Rowling expédiait sa franchise pour vite passer à autre chose.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
Ding On a écrit :Mais, sans vouloir troller, je suis le seul à avoir trouvé que le tome 7 est réellement indigne des promesses faites dans les opus précédents ? Presque 500 pages de camping sauvage où aucune intrigue n'avance, des dei ex machinae en pagaille, une bataille bâclée avec des morts hors-champs qui n'ont aucun impact émotionnel, une fin guimauve un peu trop appuyée, etc. Franchement, j'ai été affreusement déçu avec cette impression que Rowling expédiait sa franchise pour vite passer à autre chose.
non non, j'ai pas aimé non plus, j'ai eu la même impression de pas lire le même bouquin, de bâclage rapide
"le fait de ne rien faire n'est pas forcement antinomique avec le travail"
Alors je pense aussi que les 5ème et 6ème sont un bon cran au dessus.
Mais j'ai quand même bien aimé le dernier que je ne trouve pas "bâclé".
Alors dans l'ordre de tes remarques Ding :
Spoiler :
- le "camping" sert de support aux aventures. Un peu comme les cours dans les bouquins précédent. Il se passe plein de choses pdt qu'ils campent. Que ce soit des trucs s'intercalant (banque, village d'enfance, biche) ou des histoires sur les relations entre les trois personnages comme d'habitude (solitude, embrouilles, départ de Ron, retrouvailles). Et j'en passe plein d'autres (on a même l'équivalent des conversations épiées au château avec le petit groupe qui campe à proximité d'eux à un moment, ou les tableaux avec l'ex directeur de Serpentard). En outre cette histoire de camping qui vient après la brève installation chez Sirius c'est un peu une métaphore du passage à l'âge adulte : faut se prendre en main, avec des trucs "triviaux" comme préparer sa bouffe (et les disputes sur le sujet), choisir ou on va et surtout décider de ce qu'on va faire avec valse hésitations, prises de décisions irréfléchies ou au contraire peur de se lancer. Moi je trouve ça pas mal. Bon maintenant j'avoue aussi que parfois j'ai trouvé ça longuet. Mais je ne pense pas que ce soit bâclé, c'est probablement au contraire un choix de narration voulu. Après il se discute et il n'est peut être pas toujours bien maîtrisé ou adapté.
- Alors les dei ex machina : c'est un peu la marque de fabrique de HP ça quand même. Depuis le premier tome ça fonctionne à base de révélations de dernière minute et de machin qui explique tout à la fin. Là le truc c'est qu'on a ces éléments habituels, peut être déjà en plus grand nombre que d'habitude mais qu'en plus on a la fermeture de toutes les pistes lancées précédemment. Alors du coup ça fait bcp. Là aussi j'ai trouvé qu'elle en faisait peut être un poil trop et en outre j'ai un peu le sentiment que c'est peut être moins "carré" que les fois précédentes sur certains cas. Mais pour être honnête ça ne m'a plus dérangé que ça.
- La bataille de Poudlard. Bon sur ce coup là j'avoue que je suis aussi circonspect. Il y a des passages vraiment bien maîtrisés mais à d'autres moments ça pèche effectivement. J'ai le sentiment que Rowling maîtrise bien les groupes réduits mais a plus de mal à décrire quelque chose de plus "grand". Alors elle découpe en pas mal de séquences et quand elle veut revenir sur l'ampleur du truc ça prend un petit côté brouillon. Mais en même temps bon bah une bataille dans un château avec autant de monde, autant de créatures différentes c'est de toutes manières brouillon. Globalement de l'arrivée d'Harry dans la salle sur demande à la fin de la première séquence de la bataille (mort de Rogue et trêve) je trouve ça relativement bien maîtrisé. Même si effectivement la mort de Lupin, Tonks et George est un peu trop vite expédiée. Mais bon ça va avec les circonstances on va dire. Par contre c'est la seconde bataille avec l'arrivée des centaures etc qui là m'a parue pas mal bâclée pour ouvrir vers le duel final.
- Bon la fin guimauve. Dans l'ensemble j'ai pas trouvé ça dérangeant. Ca finit bien mais le chemin a été bien hard quand même.
"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
Ding On a écrit :Mais, sans vouloir troller, je suis le seul à avoir trouvé que le tome 7 est réellement indigne des promesses faites dans les opus précédents ? Presque 500 pages de camping sauvage où aucune intrigue n'avance, des dei ex machinae en pagaille, une bataille bâclée avec des morts hors-champs qui n'ont aucun impact émotionnel, une fin guimauve un peu trop appuyée, etc. Franchement, j'ai été affreusement déçu avec cette impression que Rowling expédiait sa franchise pour vite passer à autre chose.
Il est en deça du 6, je le concède. Mais j'aime bien la clôture des intrigues.
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Ben Franklin : "They that can give up essential liberty to obtain a little temporary safety deserve neither liberty nor safety."
Irazetsu a écrit :Attention aux spoilers amigo, laisse plané le doute pour ceux qui n'ont pas lu le cycle (mais qui ont au moins 6 mois avant la sortie du prochain tome pour se rattraper)
Très bonne nouvelle, ça ! C'est du sérieux, le prochain tome du Trône de Fer arrive dans pas trop longtemps ?
Un gentleman est un homme qui sait jouer de la cornemuse. Et qui n'en joue pas.
Les jeunes d'aujourd'hui ne savent pas jouer de la guitare électrique. Et ils en jouent.
Président du jury pour les concours de scénarios 2009, 2010 et 2012
En même temps, il commence a être temps ... Dans la post face de "Feast for Crows", Martin annonce le suivant pour l'année suivante (c'était en juillet 2005 ...)
Mirumoto Kohayamaru
Soul of Moto Keishi - Dragon Clan Kensai - Jade Hand Yoriki - Kolat
Some men see things as they are and say, "Why?" I dream of things that never were and say, "Why not?" (George Bernard Shaw)
J'ai passé une bonne heure sur son stand à discuter avec lui.
En fait, ce monsieur édite des fascicules comme au bon vieux temps (début du siècle), reprenant déjà du Harry Dickson dans de nvlles aventures. Le format est réellement comme à l'époque, avec la couverture peinte, une grosse nouvelle de 30 pages écrite dans un style fleurant bon les années 20, des aventures rocambolesques...
Je conseille vraiment si vous avez la curiosité d'en commander qques-uns pour vous faire une idée.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
je ne sais plus si c'est ici qu'on m'avait conseillé :
"La compagnie noire"
j'en suis a une bonne moitié et j'aime beaucoup beaucoup !
on suit une compagnie de mercenaires (assez forte et très réputée) à travers l'oeil du "toubib" qui sert également de mémoire collective en étant scribe.
edith a fini le premier tome .... est c'est très sympa ! c'est une grosse saga avec pleins de volumes ... à suivre donc
